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L’ Observatoire des Sciences et des Techniques (OST) a sorti en octobre 2013 un rapport très intéressant intitulé « Une analyse multidimensionnelle des performances scientifiques et technologiques« .

Les données collectées sont de 2010 et proviennent du WoS, de Thomson Reuters, l’OCDE, Eurostat, l’OEB (Patstat). Elles ont été traitées et analysées par l’OST.

La cartographie présente les dépenses en R&D (DIRD) et les types de valorisation : publications ou brevets, pour 5 pays européens. Les SHS ne sont pas pris en compte dans ces indicateurs.

 

Parmi les licences dites ouvertes, on trouve les licences creative commons. L’intérêt de ces licences est qu’elles permettent d’intégrer facilement des critères limitants ou des conditions :

  • CC-BY est la licence de base par laquelle la réutilisation n’est pas limitée, seule la nécessité de citer la paternité de l’œuvre est demandée.
  • CC-BY-ND  autorise toute utilisation de l’œuvre originale (y compris à des fins commerciales), mais n’autorise pas la création d’œuvres dérivées.
  • CC-BY-NC-ND autorise l’utilisation de l’œuvre originale à des fins non commerciales, mais n’autorise pas la création d’œuvres dérivés. Les utilisations commerciales peuvent être permises mais avec un accord spécifique donné par le titulaire des droits. C’est la licence appliquée par défaut à tous les documents déposés dans ProdInra qui n’auraient pas déjà de licence de réutilisation.
  • CC-BY-NC permet l’exploitation de l’œuvre, ainsi que la création d’œuvres dérivées, à condition qu’il ne s’agisse pas d’une utilisation commerciale (les utilisations commerciales peuvent être permises mais avec un accord spécifique donné par le titulaire des droits).
  • CC-BY-NC-SA autorise l’exploitation de l’œuvre originale à des fins non commerciales, ainsi que la création d’œuvres dérivées, à condition qu’elles soient distribuées sous une licence identique à celle qui régit l’œuvre originale.
  • CC-BY-SA permet toute utilisation de l’œuvre originale (y compris à des fins commerciales) ainsi que la création d’œuvres dérivées, à condition qu’elles soient distribuées sous une licence identique à celle qui régit l’œuvre originale.
  • CC-0 est une nouvelle licence qui a fait son apparition par laquelle toute réutilisation est permise et sans nécessité de citer la source ou la paternité de l’œuvre. Cette licence ne s’inscrit pas dans la propriété intellectuelle inscrite dans la loi française puisque celle ci définit un droit moral inaltérable, non transférable et inaliénable.

Le DOAJ (Directory of Open Access Journals) référence les revues en open access. Une étude a été faite sur les licences de réutilisation de chacune des revues

On remarque que seuls 38 % des revues proposent une licence de type Creative Commons

Total Number of Journals 9 804
Number of Journals using any CC-License 3 722
Percentage of Journals using any CC-License 37,96%

Déclinaison du nombre de revues par licence CC :

Number of Journals using this license Percentage among all Journals using any CC-License Percentage among all Journals
CC-BY 1 964 52,77% 20,03%
CC-BY-SA 52 1,40% 0,53%
CC-BY-NC-ND 737 19,80% 7,52%
CC-BY-NC 665 17,87% 6,78%
CC-BY-NC-SA 260 6,99% 2,65%
CC-BY-ND 44 1,18% 0,45%

La licence CC-BY est largement plébiscitée par les éditeurs de revues en open access. Du coté des auteurs, le billet Quelle licence pour la production scientifique ? rappelle les résultats de l’enquête menée par Taylor & Francis and Routledge auprès de leurs auteurs.

Du coté de ProdInra, un nouveau champ sera disponible au printemps 2014 permettant au scientifique qui dépose sa pièce jointe de préciser la licence souhaitée. Cette licence sera ensuite tamponnée sur tous les documents (qui ne sont pas une version éditeur) afin de mieux informer les utilisateurs des conditions de réutilisation. Il sera alors intéressant d’étudier les choix de nos chercheurs et ingénieurs (Inra) sur ces questions.

L’organisation internationale de normalisation (ISO) s’est penché sur les éléments descriptifs d’un document scientifique (appelé métadonnées) permettant de qualifier si un papier est openly accessible. Dans les schémas actuels, les informations d’accès libre et de réutilisation ne sont pas souvent mentionnés voire pas présents du tout dans la notice accompagnatrice.
On remarque que sur les sites des éditeurs, il est souvent difficile de repérer les articles en open access, voire distinguer ceux qui sont en free access que ceux en open access

Many offerings are available from publishers under the banner of Open Access, Increased Access, Public Access, or other names. The terms used vary both between publishers and within publishers byjournal, and in some cases, based on the funder

Le groupe de travail dédié au chantier : « Open Access Metadata and Indicators » propose à tous ceux intéressés par le sujet de commenter la première version de la norme : NISO RP-22-201x

Cette norme est importante afin d’homogénéiser les différentes appellations et de fournir aux archives ouvertes les moyens de correctement signaler les conditions d’accès et de réutilisation des documents. Cependant, le parti pris par le groupe de travail est de se limiter à deux éléments indicatifs : Free-to-read (<free_to_read>) et License reference (<license_ref>) ; cette dernière étant multi occurrente permettant de spécifier des dates différentes.
Ces balises seraient utilisées pour enrichir les schémas de données actuels ; il n’est pas question de créer un nouveau schéma.

On notera, et c’est le cas dans ProdInra, qu’une notice décrivant un document principal peut avoir plusieurs pièces jointes associées, comme des supplementary materials, des données brutes, des vidéos de présentation, etc. La norme NISO RP-22-201x ne propose que des balises supplémentaires dans la notice et n’adresse pas la question des condiutions d’accès et de réutilisation de chaque objet attaché à la notice

Use cases that are not entirely dealt with are the management of rights for components of works (e.g.figures, images, datasets). Where components are separately identified,the <free_to_read> and <license_ref> tags can apply to the components but in many cases components are not separately identified.
It is outside the scope of this Recommended Practice to determine how components should be identified.
The group further felt that there would be value in a separate initiative to identify best practice in the issues that licenses for scholarly research content should address

Je trouve que cette exclusion est dommage et diminue sensiblement l’intérêt de cette norme. Cependant, la normalisation de ces deux nouvelles balises, accompagnées de leurs attributs, est importante pour enrichir les schémas existants et pointer l’importance de ces informations.

La tendance générale consistant à rendre accessibles gratuitement les résultats de la recherche aux lecteurs, ou phénomène du «libre accès», a été confirmée aujourd’hui par une étude financée par la Commission européenne. Cette étude montre que le libre accès a atteint un seuil critique, environ 50 % des articles scientifiques publiés en 2011 étant désormais accessibles gratuitement. Il s’agit d’une proportion deux fois supérieure à celle que prévoyaient les études antérieures, ce qui s’explique par l’application d’une meilleure méthodologie et une définition élargie du libre accès. Par ailleurs, selon cette étude, plus de 40 % des articles validés par la communauté scientifique et publiés dans le monde entier entre 2004 et 2011 sont désormais librement accessibles en ligne. L’étude examine le cas de l’Union européenne et de certains pays voisins, ainsi que ceux du Brésil, du Canada, du Japon et des États-Unis.

Lire la suite sur Europa Press Releases

 

Liens vers les trois études  :

Articles en libre accès :  http://www.science-metrix.com/pdf/SM_EC_OA_Availability_2004-2011.pdf

Politique pour le libre accès : http://www.science-metrix.com/pdf/SM_EC_OA_Policies.pdf

Données de recherche en libre accès : http://www.science-metrix.com/pdf/SM_EC_OA_Data.pdf

L’open access donne la possibilité de lire une production scientifique sans barrière financière, technique ou juridique. L’open access ne traite pas de la question de la réutilisation mais bien de l’accès au contenu d’une production scientifique. Si cette production est un ensemble de données brutes, on parle d’open data.

En science, on se contente peu de lire. Nos chercheurs ont pour mission la création de connaissance. Cette création de connaissance se base sur un état des lieux, sur les innovations déjà réalisées. Les scientifiques ont donc besoin de pouvoir citer, réutiliser, créer à partir de résultats antérieurs. Et l’open access ne dit rien sur les conditions de réutilisation. Il faut donc que l’auteur (ou les auteurs) d’une production scientifique applique(nt) une licence décrivant les conditions de réutilisation.

Les grandes institutions qui se sont engagées dans le libre accès (e.g la commission européenne, l’UNESCO, Welcome Trust, Banque mondiale) ainsi que des éditeurs scientifiques Open Access (e.g BMC, Open Access Scholarly Publishers Association) encouragent l’utilisation de la licence CC-BY qui est très libre, ne demandant pour toute réutilisation que la mention des auteurs.

Cette licence permet à n’importe qui (utilisation commerciale possible) de réutiliser tout ou partie de l’œuvre afin d’en créer une nouvelle même largement empruntée au résultat original (pas de restriction Non Derivative). Elle s’oppose donc à la licence CC BY-ND-NC la plus restrictive des creatives commons.

Si la logique des politiques est la diffusion du savoir et la réutilisation la plus large possible permettant de nouvelles créations de valeur, les scientifiques préfèrent eux une licence qui respecte l’intégrité de l’oeuvre originale (ND) et empêche par défaut une réutilisation commerciale (NC). En effet, les scientifiques ne sont pas rétribués financièrement sur leur œuvre produite (sauf Brevet et Certificat d’Obtention Végétale sont des résultats valorisés par une propriété industrielle) contrairement aux auteurs d’œuvres de fiction et ne souhaitent pas que des sociétés puissent générer un revenu sur leur œuvre dont ils n’ont retiré aucun bénéfice si celui, hypothétique, de leur avancement de carrière.
Citons donc le rapport de l’enquête « Open Access Survey: Exploring the views of Taylor & Francis and Routledge authors » (mars 2013) réalisé par l’éditeur Taylor & Francis qui pose la question :

Please indicate in each case if you would be willing to sign the license when publishing your research:

13 143 chercheurs répondant :

Ce qui est intéressant à noter est que les chercheurs sont très majoritairement pour appliquer une licence CC-BY-NC-ND et peu en faveur d’une licence CC-BY. A noter cependant, qu’en fonction des circonstances, ils acceptent le CC-BY à 74% et le CC-BY-NC-ND à 95%.
Ce sondage est important car il a été fait sur un large panel de chercheurs présents sur tous les continents. La tendance restrictive ne peut pas être ignorée par les politiques.

La politique de ProdInra, archive ouverte de l’Inra, prend en compte l’ensemble des éléments présentés et applique, lorsqu’un document ne mentionne pas de licence de réutilisation, la licence CC-BY-NC-ND. En 2014, il sera demandé au chercheur de choisir sa licence au moment du dépôt.
Les notices de ProdInra sont également en CC-BY-NC-ND mais avec un accord possible de réutilisation, en fonction des circonstances, équivalent au CC-BY.

En effet, choisir par défaut une licence plus restrictive permet de l’assouplir en fonction des circonstances. Si la licence est trop permissive au départ, il n’y a plus aucun contrôle possible sur les réutilisations, même celles dont on se passerait bien.

 

(suite…)

Elsevier lance une  revue (sic) vidéo. Le domaine couvert relève de la médecine et le responsable scientifique, dans sa vidéo d’introduction, explique qu’il y a un réel besoin de visualiser des cas réels et qu’il est plus facile d’expliquer ce sujet par une vidéo que par un document écrit.

Ce même argument pourrait s’appliquer à l’agriculture et à toutes les recherches finalisées ; est ce pour autant le début d’une longue série de nouveaux journaux innovants ?
Avec deux numéros par an, Elsevier ne prend pas trop de risque pour commencer, car il ne me semble pas dans l’habitude des chercheurs de produire des vidéos. En tout cas, Elsevier, qui était critiqué par son manque d’innovation marque un grand coup… sans que cette nouvelle ne fasse vraiment le buzz sur Twitter…

Une autre revue vidéo existe : JOVE mais l’approche est différente. Les auteurs soumettent un manuscrit papier et c’est l’éditeur qui crée la vidéo.

You submit a manuscript, JoVE will film and produce your video

Au fait, comment calcule t-on le facteur d’impact d’une revue vidéo ? car c’est finalement le FI qui tient les chercheurs, pas le medium de diffusion.

Nous savions que la commission européenne était mobilisée pour l’open access et préparait une politique assez ambitieuse dans le cadre d’Horizon 2020.

Mais c’est avec plaisir que nous apprenons que le prochain programme cadre de recherche et développement (2014-2020) appelé Horizon 2020 :

  • 1) sera doté de 70 milliards d’euros.
  • 2) aura une politique d’obligation à l’égard de l’open access

Open access publication of results from research funded under Horizon 2020 will be mandatory, which will, « allow the results of publically funded research and innovation to be maximised”, said Teresa Riera, MEP and Rapporteur for the Horizon 2020 regulation.

En attendant de connaitre les modalités pratiques de mise en œuvre de cette politique, rappelons

Le dépôt d’une production scientifique et de ses données expérimentales procède de la communication scientifique directe (l’open access) mais également d’un souhait de transparence.

En effet, dans les cas de plagiat, le dépôt dans une archive ouverte est un fait d’antériorité qui permet de prouver la paternité d’une production originale. Dans le cas d’une publication controversée, le dépôt conjoint des données expérimentale ou d’enquête permet d’agir en toute transparence.

Une charte de déontologie INRA a été validée par le conseil d’administration de l’INRA. Un paragraphe traite de l’enjeu de la publication scientifique en matière d’honnêté intellectuelle

La publication : un objectif institutionnel dans la diffusion des connaissances, une responsabilité individuelle en matière d’honnêteté intellectuelle

11. La publication des résultats de la recherche est l’aboutissement attendu d’un travail collectif. Cependant, la décision d’une publication (contenu, support), dans le cadre défini collectivement, est de la liberté et de la responsabilité du chercheur, lui conférant un droit de propriété intellectuelle. Le partage de la propriété intellectuelle s’effectue entre les signataires de la publication (les auteurs). Un auteur doit avoir joué un rôle explicite à l’une ou l’autre des étapes de la conception et de la mise en œuvre du projet expérimental, de l’analyse et de l’interprétation des résultats, et dans la rédaction de la publication. Un auteur doit assumer la responsabilité du contenu entier de la publication. L’identification des auteurs et l’ordre des signataires obéissent aux pratiques internationalement partagées ; elles mettent en avant le principe d’honnêteté intellectuelle et d’équité.
12. La publication met en jeu les principes fondamentaux de la démarche scientifique (exactitude et intégralité des données présentées ; reproductibilité des faits expérimentaux ; disponibilité des informations publiées). La fraude, la fabrication ou la falsification des données, et le plagiat de publications existantes constituent des fautes professionnelles graves, des actes d’incivilité scientifique qui engagent la notoriété de l’Institut.

Le CNRS suit ce mouvement de formalisation de la nécessaire intégrité scientifique : le comité d’éthique du CNRS (COMETS) vient d’être chargé de rédiger un guide des bonnes pratiques.

ProdInra offre à tous ces agents la possibilité de déposer leur production scientifique (manuscript soumis dit preprint, manuscript final dit postprint et pdf éditeur) et les données associées.

La nouvelle politique de dépôt dans ProdInra met en avant le dépôt systématique du document par le déposant (scientifique) si celui ci veut bénéficier du dépôt rapide. J’ai souhaité savoir si, dans ce nouveau ProdInra 2, ouvert depuis le 26 juin 2012, l’habitude a été prise.

L’intérêt est double. Le premier permet au relecteur de la notice déposée d’avoir toutes les informations pour compléter la notice et la valider. Le deuxième permet de récupérer plus de documents pour une diffusion large des résultats de la recherche Inra.

Nous nous sommes donc intéressées aux dépôts depuis 2008 :

Nb de notices (validées et publiques) déposées avec PJ publiques %
2008 6763 1162 17,1
2009 7545 1116 14,7
2010 6479 1373 21,1
2011 7933 1844 23,2
2012 6746 1899 28,1

Il est intéressant de remarquer qu’année après année, le taux de dépôt de pièces jointes augmente et surtout la part de documents mis en diffusion publique. En 2012, année du lancement de la communication autour du dépôt systématique du document, on atteint presque 30% de documents publics sur les dépôts effectués.

J’attends donc avec impatience le chiffre 2013, en espérant un bond encore plus important, signe que l’impact de la communication institutionnelle 2012/2013 aura été bon.

Diane Le Hénaff
Responsable ProdInra

Après la communication de la commission européenne « pour un meilleur accès aux informations scientifiques : dynamiser les avantages des investissements publics dans le domaine de la recherche » et la recommandation relative à « l’accès aux informations scientifiques et à leur conservation » du 17 juillet 2012, le conseil de l’Europe réuni à Bruxelles, les 18 et 19 février 2013 a débattu du libre accès aux informations scientifiques.

Image de la salle de réunion

Voici le compte rendu qui a été diffusé :

Libre accès aux informations scientifiques
Le Conseil a tenu un débat d’orientation sur le libre accès aux informations scientifiques provenant des projets de recherche qui bénéficient d’un financement public, en se fondant sur la communication de la Commission intitulée « Pour un meilleur accès aux informations scientifiques : dynamiser les avantages des investissements publics dans le domaine de la recherche » (doc.12847/12) et sur la recommandation y afférente relative à l’accès aux informations scientifiques et à leur conservation (doc.12846/12).
Les États membres se sont dits favorables à l’idée de favoriser un accès plus large et plus rapide aux publications scientifiques afin d’aider les chercheurs et les entreprises à tirer parti des résultats des travaux de recherche qui bénéficient de financements publics. Cela permettra de stimuler la capacité d’innovation de l’Europe, de relever les défis de société et d’offrir aux ci
toyens un accès plus rapide aux découvertes scientifiques.
Les États membres ont pris acte de la proposition de la Commission visant à concevoir des actions expérimentales en matière de libre accès aux données de la recherche et à lancer un projet pilote à cette fin dans le futur programme-cadre pour la recherche « Horizon 2020 ». Le libre accès aux données de la recherche nécessitera de prendre en compte divers autres
aspects tels que les droits de propriété intellectuelle, les questions de sécurité et les règles en m atière de protection des données. Les États membres ont souhaité que soient définies, en concertation avec les act eurs concernés, des politiques claires en matière de libre accès aux publications scientifiques et aux données de la recherche, de conservation et de réutilisation des informations scientifiques e t d’infrastructures électroniques connexes pour la diffusion de ces informations, tant au niveau national qu’au niveau de l’UE.
Ils ont convenu qu’il était nécessaire de promouvoir des normes et des critères de mise en œuvre communs, notamment des infrastructures interopérables, afin de profiter au mieux et de manière durable du libre accès dans un Espace européen de la recherche numérique.
De plus, les ministres ont noté avec satisfaction que la Commission estime que le libre accès aux publications scientifiques devrait être un principe général du futur programme-cadre pour la recherche « Horizon 2020 » et ils ont présenté certaines des initiatives réalisées dans le cadre de leurs programmes nationaux respectifs.
L’optimisation de la diffusion, de l’accessibilité et du transfert des connaissances scientifiques est l’un des objectifs de la création d’un véritable Espace européen de la recherche (EER).
Sources:
http://www.consilium.europa.eu/ueDocs/cms_Data/docs/pressData/fr/intm/135643.pdf
http://openaccess.inist.fr/?Prise-de-position-du-Conseil-de-l